Pages

mardi 3 mars 2009

Bruno Brinell, un robot de combat rockabilly

Cette illustration est le résultat de trois choses : J’ai reçu un beau laminé du poster de Terminator pour Noël (merci Coulson) avec Arnold Schwarzenegger à moitié mécanique dessus, j’ai lu Damnation Alley de Roger Zelazny (un récit post-apocalyptique qui relate les exploit d’un motard traversant le continent American dévasté par un conflit nucléaire. Aussi adapté en film, dont Normazan nous à fait un rendu du rutilant véhicule Lamdmasters) et finalement il me semble que ça fait longtemps que je n’avais pas dessiné de robot...

Résultat un androïde et/ou cyborg qui ressemble à quelque chose entre Rambo et Elvis Prestley dans un décor d’apocalypse de voitures en flammes, de débris et de vieux tonneaux rouillés.

Nommé d’après l’échelle de Brinell qui mesure la dureté des métaux. Pas besoin de dire que Bruno se trouve tout au haut de l'échelle...

3 commentaires:

  1. Eh bien, j'allais justement dire que c'était l'union improbable entre Elvis Presley et Schwarzie dans Terminator !!! Comme quoi, tiens, tu as bien réussi ton coup, toi !!!
    A bientôt, Bonhomme !!! :-)

    RépondreSupprimer
  2. WOW!
    Je n'arrive pas a m'arreter pour le casting, mais j'ai plusieurs gros noms en tete.

    RépondreSupprimer
  3. Par ailleurs, il y a une version italienne trash pleine de sang où il l'ont appelé Bruno Brinelli. Cette derniere version se passe toutefois pas dans un univers post-apolcalyptique mais juste aujourd'hui avec un cyborg cinecitta qui laisse bien du sang derriere lui.
    On prefere la version rockabilly de l'univers de demain,

    RépondreSupprimer