Illustré à la suite de Bruno Brinell, le colosse mi-homme mi-machine inspiré du Terminator et de Damnation Alley. Si ce dernier était nommé d’après l’échelle de Brinell, cette guerrière est nommée d’après un test similaire, celui de Knoop, qui mesure aussi la dureté des matériaux.
vendredi 6 mars 2009
Kerstin Knoop, une androide de combat sexy dans un univers glauque de fin du monde
Kerstin Knoop, une fille de métal chauve au regard d’acier, se tient debout dans les ruines post-apocalyptique, un gros pistolet automatique à la main. Avec les circuits imprimés qu’elle à sur la tête et son regard tel un scanneur laser on se demande si elle est un cyborg, une fille en armure futuriste ou un robot humanoïde luttant que ce décor industriel de fin du monde?
Illustré à la suite de Bruno Brinell, le colosse mi-homme mi-machine inspiré du Terminator et de Damnation Alley. Si ce dernier était nommé d’après l’échelle de Brinell, cette guerrière est nommée d’après un test similaire, celui de Knoop, qui mesure aussi la dureté des matériaux.
Illustré à la suite de Bruno Brinell, le colosse mi-homme mi-machine inspiré du Terminator et de Damnation Alley. Si ce dernier était nommé d’après l’échelle de Brinell, cette guerrière est nommée d’après un test similaire, celui de Knoop, qui mesure aussi la dureté des matériaux.
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2 commentaires:
Moi, les filles pas de cheveux, je trouve ca super. Avec des circuits imprimés, ca leur donne un petit je ne sais quoi... si elle est nommée d'apres un test de resistance des materiaux, c'est parce qu'elle est tough pas à peu près, je suppose.
J'ai failli lui mettre des cheveux et je me suis dis que si elle était pour se ramasser ici, aussi bien faire un petit clin d'oeil à maistre Barbe!
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