Bâtard, tonnerre, terrible joual vert!
A voir la mine de minou déconfite de ma vénérable Mitsou vous devinez toute l’ampleur et le tragique de la crise actuelle : Repentigny n’est plus la ville du bonheur. Comme si s’était pas assez énorme de perdre Ben-Hur, l’astronaute Taylor et Moïse la même fin de semaine…
Les pouilleux de Ste-Julie nous ont ravis notre bonheur de bungalopolis, nous, banlieusard de la ceinture grise, ti-coune à Civic et casquettes, empilleurs de Wall-Mart, panthéons du content facile et total! Je dis nous, moi, le cheveu long qui a pas de char ni le gout d’aller au club Price, mais fuck, une racine de 450, ça parle pareil, bon!
Pour célébrer ma tristesse, le départ de toute joie, je passerais la tondeuse moins souvent cet été pour dévisager (davantage) ma ville trissse, ou quelque chose de symbolique comme ça...
1 commentaire:
Charles, Repentigny est encore la ville du bonheur... une hirondelle ne fait pas plus le printemps qu'un IKEA fait le bonheur.
Avec ses plus de 300 ans, Repentigny a le passé de son bord. Les autres villes du bonheur ne sont que passageres.
En fait, on sait tous que lorsqu'il n'est pas a Repentigny, le bonheur est a l'ile des soeurs: On s'est fait posé a coté de lui... quelqu'un a la photo?
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