Un jeune loup d'une force surhumaine fut découvert inconscient par trois cochons. Lui dont la force et la mémoire dépendait de la longueur des cheveux, ils les lui coupèrent avant de l'enchainer dans une caverne avec la possibilité de ne voir que son ombre.
Il reprit conscience et, d'aussi loin qui se souviennt, jamais ils n'avait vu directement la lumière du jour, dont ils ne connait que le faible rayonnement qui parvenait à pénétrer jusqu'à lui. Des choses et de lui-même, il ne connaissait que les ombres projetées sur les murs de la caverne par la lumière qui pénétrait à travers des fentes béant entre les planches de la lourde porte de la cave. Des sons, il ne connait que les échos.
Un jour il se libéra de force de ses chaînes et fut cruellement ébloui par une lumière qui filterait entre les planches de la lourde porte qui bloquait l'entrée de la caverne. D'abord, il souffrit de tous les changements. Il résista et ne parvient pas à percevoir ce qui s'offrit à ses yeux. Finalement, Il vit le monde dans sa réalité. Prenant conscience de sa condition antérieure, il se fit violence, il abbattit par la force de son souffle la porte de bois qui le retenait dans la caverne, puis, apercevant les cochons dont il n'avait jamais vu que les ombres et de la voix de qui il n'avait jamais entendu que l'écho. Il entra dans une rage folle à la réalisation de ce que ses geoliers lui avaient fait endurer. Il voulut balayer tout souvenir de ce temps maudit. resouffla et abbattit leurs trois huttes de paille comme il l'avait fait de la porte de bois de la caverne. Comme il ne pouvait ainsi faire disparaitre la caverne elle-meme et les trois cochons, il les y enchaina a leur tour et, avec le feu de leur huttes de paille, les fit fumer. C'est bien connu, la viande fumée. Ca goute bon!
Il reprit conscience et, d'aussi loin qui se souviennt, jamais ils n'avait vu directement la lumière du jour, dont ils ne connait que le faible rayonnement qui parvenait à pénétrer jusqu'à lui. Des choses et de lui-même, il ne connaissait que les ombres projetées sur les murs de la caverne par la lumière qui pénétrait à travers des fentes béant entre les planches de la lourde porte de la cave. Des sons, il ne connait que les échos.
Un jour il se libéra de force de ses chaînes et fut cruellement ébloui par une lumière qui filterait entre les planches de la lourde porte qui bloquait l'entrée de la caverne. D'abord, il souffrit de tous les changements. Il résista et ne parvient pas à percevoir ce qui s'offrit à ses yeux. Finalement, Il vit le monde dans sa réalité. Prenant conscience de sa condition antérieure, il se fit violence, il abbattit par la force de son souffle la porte de bois qui le retenait dans la caverne, puis, apercevant les cochons dont il n'avait jamais vu que les ombres et de la voix de qui il n'avait jamais entendu que l'écho. Il entra dans une rage folle à la réalisation de ce que ses geoliers lui avaient fait endurer. Il voulut balayer tout souvenir de ce temps maudit. resouffla et abbattit leurs trois huttes de paille comme il l'avait fait de la porte de bois de la caverne. Comme il ne pouvait ainsi faire disparaitre la caverne elle-meme et les trois cochons, il les y enchaina a leur tour et, avec le feu de leur huttes de paille, les fit fumer. C'est bien connu, la viande fumée. Ca goute bon!
3 commentaires:
Menoum de nouveau! Samson, Platon, les trois petits cochon et le gros méchant méchant loup n'aurons j'amais donné aussi faim!
J'aurais cru que le loup s'appelerait Schwartz!
A date je l'ai nommé Aonarach, qui veux dire Solitaire en Gaelic.
Aonarach Schwatz; barbare, goinfre et tyran. Pas pire, pas pire...
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